Réagissant sur la publication d'un jugement de la troisième chambre du Tribunal de grande instance de Paris (condamnant un hébergeur pour avoir conservé des données farfelues, ne permettant pas l'identification du créateur du site), Cédric Manara s'interroge sur l'extension de cette "jurisprudence" au cas des registars.
J'ai pas résisté à réagir à ce billet sur deux aspects : une telle responsabilité de l'hébergeur est-elle justifiée ? Surtout, y-a-t-il un angle d'attaque du registar en cas de problème - notamment avec un cyber-marchand ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire